C'est vers cette même époque que, pour le premier fois en Algèbre, la notion de loi de composition s'étend, dans deux directions différents, à des élements qui ne présentent plus avec les nombres (au sens le plus large donné jusque-là à ce mot) que des analogies lointaines. La première de ces extensions est due à C.F.Gauss, à l'occasion de ses recherches arithmétiques sur les formes quadratiques ....
Bourbaki, N., Élements de mathématique, Livre II: Algèbre, Ch. I: Structures algébriques, Hermann, Paris, (1964). p.153